Tintintindin Tintintindin Tintintindintintindin tin tintinnnnn (sur l'air de la marche nuptiale)
Bon nan je ne vais pas me marier ou en tout cas pas avant longggggtemps. Je vais donc parler dans cet article d'un mariage!
Nous avons été invité avec Kari, au mariage d'une amie française que je nommerai A. Elle et son (nouveau du coup) mari étant Tenrikyô, le mariage s'est déroulé au temple de la religion. Petit descriptif de cet évènement unique:
Nous sommes arrivés avec Kari, seuls non-tenrikyô avec un couple d'amis franco-japonais, et nous nous sommes assis derrière tout le monde. C'était pendant les vacances, au début si je me souviens bien, autant vous dire qu'il faisait très froid en chaussettes sachant que le temple n'est pas fermé et a des grannnnndes portes.
Les deux futurs époux portaient un kimono et étaient vraiment très classes.
La cérémonie consistait en une succession de rituels très codifiés (comme pour tout mariage) tel que recevoir un éventail des mains de la future belle-mère, mais je ne m'y connais pas trop à ce sujet donc je ne me risquerai pas à des suppositions. Nous sommes à peu près passés dans toutes les salles du temple, priants dans chacunes d'elles. Pas si difficile pour le chant principal mais pour les autres, on a du renoncer et juste observer. L'ambiance était très religieuse mais pas oppressante pour autant.
A noter que durant cette cérémonie, à chaque fois nous nous sommes positionnés en 正座 (Seiza), position "je mets mes genoux à terre et m'assoies en gros sur mes talons". Pas si horrible au début mais abominable à la fin.
La cérémonie s'est terminée sur les photos des nouveaux mariés et la traditionnelle photo de groupe sur laquelle nous avons eu la chance d'être invité.
Enfin bon, j'en garde un très bon souvenir, un mariage tenrikyô est certes très différent mais aussi très intéressant et je pense que l'on est vraiment chanceux d'y avoir participé.
Malheureusement, la 花嫁 (nouvelle mariée) n'est plus à Tenri et s'est allée à la capitale.
Message personnel: Si jamais tu lis ce blog un jour (sait-on jamais), merci beaucoup de nous avoir fait partager ce moment et je te souhaite plein de bohneur.
Nous avons été invité avec Kari, au mariage d'une amie française que je nommerai A. Elle et son (nouveau du coup) mari étant Tenrikyô, le mariage s'est déroulé au temple de la religion. Petit descriptif de cet évènement unique:
Nous sommes arrivés avec Kari, seuls non-tenrikyô avec un couple d'amis franco-japonais, et nous nous sommes assis derrière tout le monde. C'était pendant les vacances, au début si je me souviens bien, autant vous dire qu'il faisait très froid en chaussettes sachant que le temple n'est pas fermé et a des grannnnndes portes.
Les deux futurs époux portaient un kimono et étaient vraiment très classes.
La cérémonie consistait en une succession de rituels très codifiés (comme pour tout mariage) tel que recevoir un éventail des mains de la future belle-mère, mais je ne m'y connais pas trop à ce sujet donc je ne me risquerai pas à des suppositions. Nous sommes à peu près passés dans toutes les salles du temple, priants dans chacunes d'elles. Pas si difficile pour le chant principal mais pour les autres, on a du renoncer et juste observer. L'ambiance était très religieuse mais pas oppressante pour autant.
A noter que durant cette cérémonie, à chaque fois nous nous sommes positionnés en 正座 (Seiza), position "je mets mes genoux à terre et m'assoies en gros sur mes talons". Pas si horrible au début mais abominable à la fin.
La cérémonie s'est terminée sur les photos des nouveaux mariés et la traditionnelle photo de groupe sur laquelle nous avons eu la chance d'être invité.
Enfin bon, j'en garde un très bon souvenir, un mariage tenrikyô est certes très différent mais aussi très intéressant et je pense que l'on est vraiment chanceux d'y avoir participé.
Malheureusement, la 花嫁 (nouvelle mariée) n'est plus à Tenri et s'est allée à la capitale.
Message personnel: Si jamais tu lis ce blog un jour (sait-on jamais), merci beaucoup de nous avoir fait partager ce moment et je te souhaite plein de bohneur.